Habitation de Vynessia Jabbress.

Maison peu entretenue pour ne pas dire délabrée dans les rues sombres de la ville.

Une petite table faisait tout de suite face à l'entrée accompagnée de plusieurs chaises de moi du même bois sombre et robuste. Sur le côté un grand drap cachait des instruments de tortures tous plus effrayants les uns que les autres.

Passée cette pièce peut intéressante, une seconde pièce se révélait après une porte sur le droite. La chambre qui avait une atmosphère très paradoxale. Un magnifique lit aux draps rouges sang illuminait la couche en baldaquin.
Et sur le côté un simple drap miteux posé sans trop d'attention.
La seule fenêtre qui éclairait la pièce pointait sa lumière sur le lit gardant le reste de la pièce dans l'obscurité.

Une cave mystérieuse fait aussi partie de la maison ... Cave très certainement destinée à satisfaire tous les plaisirs de Mademoiselle ...

Je souriais encore et toujours à ses répliques. Nos pas furent rapides et cadencés. Ma maison fut donc rapidement atteinte, et je ne tardai pas à sortir la clé de ma poche, avant de l'insérer dans la serrure avec doigté.

"Qui sait enfoncer une serrure avec dextérité sait faire beaucoup de choses avec ces mains."

J'entrai dans la maison, me rendant compte qu'il serait bien temps de ranger un peu cette dernière.

"Tiens, tu feras le ménage après notre petit amusement ..."

Je parcourus rapidement la pièce principale qui était d'ailleurs la plus grande, pour ensuite passer dans la chambre et attraper un anneau qui souleva une trappe au sol. La seule chose que l'on pouvait apercevoir était un escalier aux appuis précaire.

"Je t'en pris Aslin."

Je sourirai d'une manière un peu plus sadique et mon regard s'animait un peu plus que d'habitude. J'avais déjà beaucoup d'idées, et je me sentais bouillir, je mourais d'envie de tester tous mes objets et autres accessoires sur lui ...

Les escaliers descendus, on pouvait apercevoir un vrai centre de torture.
La pièce était une cave, et ses murs de pierre étaient ornés de chaines solides et torches éteintes.
Tout y était présent, du fouet, aux piques et en passant par le chevalet de tortures ... Du plus sophistiqués au plus archaïques ...

Je descendis à mon tour, gardant un sourire émerveillé. Ici aucune poussière n'était présente, tout était nickel et brillant. Même pas une trace de sang ... A part certains draps dans un coin de la pièce.

"Tu ne trouves pas cela magnifique ... Dis-moi qu'est-ce que tu préfères ... Et tu as envie de commencer par quelque chose en particulier ?"

La ptite dame me conduisit jusque chez elle. Enfin si l'on puit dire vu le sordide de l'endroit. Sans doute une crèche passagère. Elle ouvrit avec grande dexterité la porte, et je fus déçu de ne pas voir tomber la clef dans le caniveau.

Nous entrâmes alors, dans une sorte de porcherie humaine. Presque pire que chez moi...

"Et bien, c'est crado ici..."

Elle me dit alors que ce serait à moi de faire le ménage...

"C'est ça... et mon cul c'est du poulet?"

Elle ne répondit pas, semblant presser de se rendre dans la chambre. Une chambre pas mal du tout, contrastant avec l'autre pièce. Agréable somme toute.

"Mon dieu que la déco est mal faîte... On s'croirait chez les curés de Torpal... Tu es déjà passé chez eux? Non hein... Enfin bon, un manque de goût évident, une cul de jatte aveugle et bègue aurait fait mieux..."

Vynessia semblait toujours aussi concentrée, et elle ouvrit une trappe dans le sol. Elle m'invita polimment à descendre, avec toutefois un sourire cruel. J'haussai les épaules... Mieux valait descendre tout seul qu'assommé par ses saletés de sorts à deux pièce de bronze six de cuivre.

Je descendis alors, aussitôt suivi par la jeune femme. Et là je ne pus m'empêcher de rester bouche bée. La cave était en réalité un lieu dédié à la torture, contenant toutes sortes d'outils. Des chaînes. Et des vieilles torches. Le tout me donnait froid dans le dos, et les mots de Vynessia ne firent que me mettre plus mal à l'aise. J'avais l'habitude des beignes, mais ce genre de truc était au-dessus de mes forces...

"Euh... Enfin... Tu compte pas? Si? Parce que enfin, euh on peut s'arranger. C'est pas que j'tiens à mon corps mais presque quoi..."

L'air un peu perdu je me dirigeais vers la sortie, et vers elle... J'ignorais si elle bluffait, mais mieux valait tenter le tout pour le tout. Une fois à son niveau, prenant un air (presque) faussement désespéré je m'appretais à la frapper. Mon poing parti alors, visant ses tempes, suffisamment vite pour qu'elle n'ait pas le temps de réagir...

Le coup porta et la pauvre fille s'écroula... Ce fut alors qu'une décharge monumental me prit le corps. J'en hurlai, m'écroulant sur le sol tant une nuée de spasmes détestables...

Aslin ne paraissait pas apprécier à leur juste valeur les objets de qualités qui étaient présents. J’avais, et il fallait le dire, dépensé une véritable fortune pour tous ces petits bijoux. Et tous étaient véritablement exceptionnels ! Un instant, mon esclave parut effrayé, et ne pus sembler se contrôler si bien qu’il me lança un coup de poing qui n’eut que seul effet de m’assommer. Le coup que je ne pus éviter ne me fis même pas crier, seulement tomber, et puis plus rien.

[…]

Je me relevai avec beaucoup de mal, portant ma main à ma tempe, l’endroit précis où il m’avait frappé. Je mis quelques minutes à véritablement prendre conscience de la situation : il était allongé devant moi, l’effet de son appartenance à moi devait avoir fait effet, beaucoup d’effet, à tel point que ce dernier était affalé par terre sans doute aussi inconscient que je l’étais il y a encore quelques instants …

Je pris des menottes accrochées mut par des chaînes, lui tirant ses bras et les mettant devant lui ce qui me facilitera pour certaines choses par la suite. A l’aide de chaînes je le tirai vers le mur, la trainant maladroitement sur le sol assez propre. Je souris en voyant le jeune homme encore inconscient, la magie était quelque chose de très puissant et il a put s’en rendre véritablement compte.

Je remontai à l’étage pour chercher une bassine pleine que je jetai sur mon objet pour que ce dernier se réveille plus facilement. Et ce fut bien sûr le cas.

« Mon chou on se réveille ! »

Je terminai ma phrase dans un rire purement sadique qui résonnait dans les murs de la cave.

Splash!

L'eau froide me réveilla d'un coup, me faisant difficilement reprendre mes esprits. La voix agréable de Vynessia se fit entendre, puis un rire qui me martela le cerveau avec violente.

"Oula molo sur le rire poupée..."

J'essayai de me redresser, mais je me rendis bientôt compte que du métal encerclait mes poignets. Je zieutais alors, pour voir que que des menottes reliées à un mur par des chaînes m'emprisonnaient.

Je regardais de nouveau la garce, comprenant que j'étais pris au piège. Mieux valait me faire oublier.

"On t'a jamais dit que t'avais de beaux yeux poupée? Y sont trop beaux, enfin m'font craquer moi. On dirait deux tâches d'encre... Enfin d'la jolie encre j'veux dire, pas dla moche non non... Et des cheveux... Une vraie crinière d'Aegiedienberg... Enfin jsais pas si tu conais ... Arf et puis ça m'saoule les compliments, torture moi qu'on en finisse..."

Je lui souriai tout de même, d'un petit sourire en coin dans lequel se mêlaient défi et séduction. Surtout séduction. C'est que je savais y faire avec les minettes. Je pliai une jambe, m'adossant au mur de manière aguicheuse.

"Alors quelle partie tu abime pour commencer?"

Je ne répondis aucunement à ses paroles tout d’abord maladroites puis aguicheuses. Il était attirant dans cette position. Et je sentais en moi un désir qui se mêlait à mon gout singulier de la torture ...

"Et bien puisque tu le demandes on va commencer tout doucement ... Je dois voir comment tu réagis aux toutes petites douleurs ... On v a y aller progressivement."

Je m'approchai de mon esclave enchainé, mettant mes mains au dessus de ses épaules contre le mur, l'embrassant tout doucement sur les lèvres, avec un brin de désir et un autre de tendresse ...

Retirant mes lèvres des siennes je lui murmurai doucement à l'oreille :
"N'essaye pas de me faire du mal, tu risquerais de souffrir encore plus Aslin."

Allant chercher de nouveau sa bouche, je l'embrassai juste du bout des lèvres, mordillant légèrement sa lèvre inférieure, tout en glissant ses mains en direction de sa nuque avant de descendre dans son dos, plantant mes griffes dans sa chaire.
Lui lacérant son dos dans sa longueur, je m'éloignai ensuite de ce dernier pour tirer un fouet tout simple.

"Tu veux essayer ça ? J'ai déjà testé et c'est très bandant pour les hommes ..."

Vynessia me dit alors qu'elle voulait commencer par des trucs pas trop cruels. J'espérais qu'elle n'ironisait pas. Je faisais toutefois tout pour dissimuler ma peur. On ne montre pas au loup qu'on a la trouille ou il nous croque.

Elle se rapprocha alors de moi, ses mains douces se posant sur mes épaules. Je fus alors surpris lorsqu'elle vint m'embrasser, avec douceur et désir. Je me laissais faire, en profitant pour lui rendre. D'où l'utilité de pratiquer pendant des années les jeux de la chair... Je restais toutefois tendu, attendant le moment fatidique où elle serait violente.

Elle quitta alors mes lèvres, venant me glisser à l'oreille qu'il valait mieux que je me laisse faire, si je ne voulais pas empirer les choses. Elle prononça mon nom avec une douceur que je ne lui connaissais pas, et très agréable à entendre.

Bordel! Je me laissais avoir par cette peste. Jouer avec le désir des nymphettes était mon crédo, et je devais pas me faire avoir. Même si la garce était drôlement attirante, et que malgré moi je commençais à apprécier la situation.

Vynessia vint de nouveau chercher mes lèvres, attrappant celle du bas. Elle la mordilla alors, plantant ses serres dans mon dos. Je me cambrai sur le coup, refusant de crier. Elle laissa alors une trace sanglante sur mon dos, avant de finalement me délaisser. Le pire c'est que la chose était drôlement excitante...

Elle saisit alors un fouet, me disant que c'était bandant pour les mecs. Bah, j'avais déjà envie d'elle de toute façon...

Je lui répondis donc:
"Ma foi avec plaisir... Finalement pas si mal comme plan..."

Je lui fis alors un clin d'oeil, prêt à encaisser les coups...

Je fis claquer le fouet contre le sol tout en m’approchant de lui.

« J'aime les sucettes, mais c'est encore mieux quand on peut les croquer »

Mon rire se mit à retentir de nouveau, mais avec un peu plus de calme et de sensualité.

« Puisque tu m’as l’air motivé, on va commencer tout de suite. Tu résistes bien pour le moment, franchement je ne pensais pas ça de toi … Peut-être que sous cette apparence de jeune garçon cherchant la bagarre se cache un … cœur. Il paraitrait que ceux qui en ont un résistent mieux, enfin ça me parait assez absurde mais soit. »

Je fis claquer le fouet d’abord tout près, pour ensuite le lancer sur son ventre.

« Mon chou, tu ferais mieux de te retourner ça va faire encore plus mal dans ce sens. »

Toutes mes paroles étaient véritablement sadiques et je ne privais pas pour utiliser ce ton cruel.
Il paraissait s’amuser pour le moment, peut-être était-ce sa technique pour arrêter la torture – au sens propre du terme …
Si cela était le cas il faisait une belle erreur, puisque je le croyais sur parole …

« Mmmh … tu aimes ça ? »

J’étais folle de cette arme, de la douleur qu’elle pouvait infliger et des cris qu’elle arrivait à tirer.

[L'inspi est pas là :/]

La belle fit claquer son fouet d'une manière théatrâle avant de lancer une réplique que je ne compris pas tout à fait. Il faut dire que la folieuse était quelque fois dans son monde. Toutefois le tout avait l'air sexuel, et j'avais rien contre.

Elle partit alors dans un fou rire. J'en profitai pour regarder le plafond pendant qu'elle pouffait. Sympatoche...

Elle me lança alors que j'avais plutôt bien résisté. Je compris pas trop le truc vu qu'elle avait pas commencé. Enfin, c'était sûrement sa façon à elle de dire qu'elle me trouvait beau gosse.

Le fouet claqua alors juste à côté de moi, soulevant un peu de poussière avant de s'abattre sur moi.

"Chiabrena!" laissai-je échapper, sifflant sous le coup. La ribaude y allait pas de main morte, et une belle trace écarlate était visible sur mon si beau torse. Bah, quelques cicatrices de plus, j'étais pas à ça près.

Elle me conseilla alors de me retourner, me faisant de nouveau gémir. C'est qu'elle aimait ça la grognasse...

"Hey, minute papillon, c'est pas pratique avec les chaînes... AIE!"

Je fis un effort pour lui offrir mon dos. Il est vrai que des blessures au ventre étaient bien plus handicapantes. Elle me demanda alors si j'aimais ça, toujours de cette manière sadique. Je me demandais sur quelle brouche j'étais tombé. Dire qu'elle avait l'air sympa au premier abord...

"Euh... Ben t'as du doigté ma belle..."

Je fus interrompu par un nouveau coup, mais cette fois-ci je ne criai pas. La choses n'était pas agréable, mais j'avais déjà vécu pire.

"Allez du nerf beauté... Tu faiblis..."

C'est ainsi que sur les genoux, face au mur et les mains toujours pendues au-dessus de moi j'encaissais les coups. De plus en plus douloureux...

Vynessia me laissa alors un peu de répit tandis que j'étais de dos. Et alors que je m'attendais à sentir un nouveau coup, elle se rapprocha de moi. Elle me plaqua contre le mur de son corps. J'avais déjà chaud, la sueur coulant dans mon dos. Son contact ne fut que plus brûlant.

Elle m'enleva alors mon pantalon, et je me retrouvai nu comme un ver. Elle prétendit que c'était pour les sécher, bien que j'en doutais.

Je sentis alors le fouet me caresser le dos, avant de descendre sur mon torse jusqu'à me toucher le sexe. Ses ongles l'éffleurèrent alors, alors que j'ignorais tout de ses intentions. Je la craignais et je la désirais en même temps. Mais ça, valait mieux que la ribaude ne le sache pas.

"Plutôt sympa j'avoue. T'as des moeurs spéciaux ma belle... Mais c'est pas mal."

Je ne mentais pas, mais tournais la chose à la dérision. Il est vrai que son contact était agréable, malgré tout.

Elle se recula finalement, m'offrant un nouveau coup. Je poussai un petit cri, surpris. Elle me demanda alors si je préférais les objets ou ses doigts. Je ne voyais pas où elle voulait en venir mais la question était loin d'être innocente.

"Ben faut voir... Si tu m'offre un truc, ptet qu'un cadeau s'rait plus sympa que tes doigts, peuvent toujours servir après tout, serait con d'en couper un. S'non moi j'les aime bien des p'tites phalanges. On en mangerait..."

La suite m'intéressait et m'effrayait en même temps. Je n'en laissais paraître qu'un désintérêt pourtant très crédible...

"Bon on fait quoi maint'nant? J'trouvais ça sympa quand t'étais contre moi. C'est que j'me les caille now..."

Je me mis à sourire ravie de sa réponse.

« Et bien, puisque tu insistes tant, on va faire ça avec les doigts, tu sais ça ne me dérange pas et qui sait, peut-être seras tu encore plus gêné … »

Je m’éloignai, tournant le dos à mon esclave pour mettre une lubrificateur sur mes doigts, retirant par la même occasion ma bague qui m’aidait à montrer mon autorité sur lui. La chose étant faite je reviens à la même place que précédemment ; mon buste collé contre son dos, caressant sa nuque de ma langue.

SUITE A CARACTERE POUSSE
(Je préviens les lecteurs de la suite qui pourrait être désagréablement choquante pour certaine personne puisqu’il s’agit ici d’un milking)

« Ne t’inquiète pas mon chou ça fera un peu mal et tu n’auras aucun plaisir … C’est l’objectif. »

J’embrassai son cou en même temps que de glisser mes doigts dans le seul lieu que l’on pouvait pénétrer chez les hommes. J’y allai doucement, gémissant doucement pour donner une certaine frustration qui pourrait faire redoubler les cris de mon esclave. Le pénétration fut tout d’abord assez difficile malgré mes doigts préalablement lubrifié …

Deux doigts le pénétrant je massai doucement à l’intérieur cherchant ses glandes, je lui murmurai quelques mots à l’oreille d’une manière très amusant et concentrée. Mes doigts ondulèrent à l’intérieur, parfois tournant, se retirant pour se remettre encore plus profondément. Je pouvais m’apercevoir que cette technique n’avait pas été utilisée sur loin étant donné la petitesse de son orifice.

Je souriais en me disant que j’étais la première et que j’étais en train de dépuceler cette partie. J’entendais peu les cris de mon patient étant trop concentrer pour que le massage soit plus lent, et réussi possible.

Mes phalanges se pliaient doucement, et par moment j’accélérais pour mieux ralentir encore. Ma technique était très élaborée puisque ce que je n’étais pas à mon premier milking sur des hommes … et sur des femmes …

Je portai mon autre main à son sexe et sentis presque instantanément une éjaculation sans plaisir. Je retirai alors mes doigts, fière de moi et de ma dextérité.

La fille me sortit que les doigts lui convenaient, et que ça me gênerait peut-être plus encore. Je voyais pas trop où elle voulait en venir, mais j'avais l'habitude. Je la comprenais jamais cette gonzesse.

Elle fit quelque chose dans mon dos, mais je ne voyais rien. Elle revint finalement tout contre moi, m'écrasant de nouveau de son poids.

"J'préfère ça beauté..."

Sa langue vint ensuite me faire frémir, me caressant la nuque. Si la torture continuait comme ça ça risquait d'être bien sympatoche.

Elle ne continua pas comme ça.

Elle me lança alors que je n'allais pas prendre de pied, et que cela me ferait un peu mal. J'allais lui répliquer que c'était sûrement un peu le but de la manoeuvre mais elle agit avant.

En effet, sans que je m'y attende je sentis ses doigts se glisser en moi. Je poussai un cri surpris, alors qu'elle me susurrait des mots doux à l'oreille. Elle y allait doucement, laissant la nouvelle sensation me parcourir. Je me sentais bizarre, voulant qu'elle se retire et en même temps...

Elle me massa alors. Je voulais bouger mais dans ma position je ne pouvais pas. Je ne pouvais que me contenter de subir. Je me mordais la lèvre au sang, la chose étant agréable et douloureuse à la fois. Mais surtout profondément humiliante. J'étais à sa merci, et elle faisait de moi un bougre. Je détestais ça, mais j'arrivais pas à causer.

La torture continua, et je me sentais pour la première fois impuissant. J'avais mal, mais j'implorais pas. Je ne demandais rien. Je me contentais de gémir et parfois de crier légèrement. Son corps était toujours contre le mien, mais je me sentais oppressé.

Finalement ses mains touchèrent mon sexe, et sans aucun plaisir je sentis mon coït. Elle se retira alors, ne soufflant mot. J'ignorais que l'on pouvait faire ressentir cela, et j'aurais préféré rester dans l'ignorance.

Je ne fis pas de commentaire, je ne bronchais plus. J'avais juste envie de disparaître. J'étais à poil, et je l'avais jamais été à ce point de ma vie...

Pour la première fois je vis mon esclave humilié n’osant rien dire … Je me doutais bien que ce denier allait réagir avec une telle ampleur mais peut-être pas à ce point tout de même.
Je m’approchai alors de lui, adossée contre le mur, un sourire de vainqueur aux lèvres.

« Alors mon chou, tu n’as pas aimé ? Bon pas de plaisir c’est vrai mais bon s’en est excitant tout de même … »

Je m’approchai doucement de son visage qui avait perdu tout sa fierté et sa pointe de charme qui faisait de lui cet homme virile qui répondait dans toutes les circonstances. Mes lèvres s'approchèrent des siennes et doucement je l’embrassai cherchant délicatement sa langue. Le baiser n’était pas aussi ardent qu’habituellement, mais il est restait tout de même agréable.

Je m’éloignai de lui quelques instants, donnant au passage une petite fessée sur ses fesses fermes, reprenant ma bague articulée et me rapprochai de nouveau de lui enlevant les liens qui le tenaient près du mur.

« Bien … Je crois que je mérite un bain chaud maintenant moi … Tu vas t’occuper de moi … »

Je sortis la première de la pièce de torture pour déboucher dans ma chambre et passer dans une seconde pièce qui serait de salle de bain. Cette dernière était la seconde pièce la plus irréprochable de la maison.

« Aslin, occupes-toi de l’eau chaude. Je m’occupe des essences. Oh et veux-tu profiter de ce bain ? »

Vynessia s'approcha alors de moi, s'adossant contre le mur. Elle me lança alors que la chose était tout de même excitant. Je me retins de lui lancer que ça faisait surtout un mal de chien.

Elle s'approcha alors de moi, son visage bientôt au niveau du mien. Je ne me sentais pas fier pour un sou, à ça non. Et je fus assez surpris quand elle vint m'embrasser. Je fermai cependant les yeux, appréciant une chose enfin agréable. Et ne voulant pas la froisser.

Elle s'éloigna alors, me fessant par la même. Elle revint quelques secondes plus tard, me détachant. La torture semblait s'être terminé sur cette pratique plus que douteuse, qui avait eu tout son effet sur ma pauvre personne. J'avais eu tort de la sous-estimer... Cette petite avait du peps, et mieux valait ne pas la prendre pour une nigaude.

Vyness me sortit alors qu'elle méritait un bain chaud, et que j'allais m'occuper d'elle. Je sentis mon poing se serrer, mais je ne dis rien. Je n'étais pas prêt à ce que pareil traitement recommence...

Elle sortit alors. Je me dirigeai vers mes habits quand je sentis les prémices de son pouvoir sur mon tatouage.

"Et merde..."

Je me dépéchai de la suivre donc, toujours aussi nu. D'habitude j'aimais être à poil avec les mignonnes, mais là je me sentais juste horriblement géné. Sans compter que j'avais sacrément mal là où la bougresse m'avait tripoté.

Je traversai sa chambre à sa suite, et nous nous retrouvâmes dans une salle destinée au bain. Jolie pièce d'ailleurs. Elle sortit que j'allais m'occuper de l'eau, tandis qu'elle jouerait des essences. Elle me proposa même de partager ce bain. J'aurais volontiers dis non, mais j'étais poussiéreux, ensanglanté et en sueur.

"C'est si gentiment proposé, ma Dame, que je ne puis refuser..."

Je lui fis une petite révérence, entre la soumission et la moquerie ouverte. Je parlais rarement comme on m'avait éduqué à le faire. Ne voulant pas lui donner de mauvaise habitude, je lui demandais, sans trop d'agressivité:

"Et où j'peux trouver la flotte? J'ai pas l'habitude de faire ce genre de trucs moi..."

Je ne mentais qu'à moitié. J'avais déjà vu faire de nombreuses fois, mais je m'en étais moi-même jamais occupé...

Un doux sourire se posa sur mes lèvres. Mon esclave n'était-il donc pas habitué à servir ses supérieurs ? Je fis une nouvelle fois ce petit rire amusé, qui était par moment admiratif et moqueur ...

"Arrête de faire comme si tu ne savais pas mon chou ... A moins que tu ne sais vraiment pas et là je dois avouer que tu baisserais une nouvelle fois dans mon estime ce qui pourrait devenir très fâcheux pour toi et tes petites fesses nouvellement dépucelées ..."

Reprenant un peu plus de sérieux, je me relevai je m'approchant tout près de lui, plongeant mon regard dans le sien.

"Bon, on va faire ça sous forme de question esclave."

Marchant de quelques pas dans la pièce, je lui demandai alors d'où venait l'eau en tout logique et d'où pouvait-elle être servie pour les habitants.

Je lui précisai quelques détails, et fatiguée de devoir jouer à ce jeu je finis vite par lui demander de réfléchir avec la matière grise que contenait son cerveau.

"Dépêche-toi! Je me sens sale et j'ai des besoins comme toi qui doivent être nourris ..."

La garce lança une autre réplique, faisant allusion à ces nouveaux jeux. Elle s'approcha alors de moi, m'observant intensément. Je ne flanchai pas. Pas trop le bon moment pour jouer la lopette.

Elle partit alors dans son petit monde, posant des questions assez spéciales. Je la regardai incrédule, puis j'haussai les épaules:

"J'veux bien moi, hein ma cocotte. Mais bon, j'la connais pas ta piaule. T'as un puit? T'as un truc, enfin jsais pas moi... De toute manière j'peux pas trop me tirer pour aller voir dehors..."

J'eus finalement des infos acceptable et j'allai chercher la maudite flotte.

(passage sans intérêt)

Le bain fut enfin prêt, avec une eau fumante et pas trop sale.

"La ptite dame est contente?"

Quand sa tâche fut terminée j'observai le résultat avec une attitude de contrôleuse un peu trop pointilleuse pour enfin me mettre à sourire, assez satisfaite.

"On peut dire que c'est acceptable. Mais la prochaine fois soit plus rapide !"

Je retirai doucement mes vêtements, commençant par mes cuissardes, m'asseyant sur le rebord de la baignoire, enlevant une première, puis la deuxième, descendant mon pantalon, ôtant mon haut pour finir en sous-vêtements. Je détachai ensuite mes cheveux qui étaient attachés il y a encore peu de temps en queue de cheval.

Me tournant vers mon objet, je lui adressai un sourire qui l'invitait à entrer le premier dans le bain.
Attendant de voir sa réaction, je finis d'ôter mes derniers vêtements pour finir enfin nus ...

La gouge ne me lança pas de remarque trop désobligeante. Elle devait commencer à s'habituer à mon caractère. Faudrait changer ça.

Elle commença alors à se défrusquer, et je la zieutai outrageuseument pour ne rien manquer du spectacle. Il faut dire qu'elle était sacrément bandante.

En fin de compte elle se tourna vers moi, me faisant signe d'entrer avant elle. Bah, j'allais pas me faire prier, pas mon genre.

Je me glissai donc dans l'eau chaude, grimaçant en me rappellant les coups de fouets d'un peu plus tôt.

"Ca va elle est bonne... J'l'ai pas empoisonnée tu sais... T'es plutôt pas mal à poil. Rends toi utile et passe moi le savon tu veux, poupée?"

Je la narguais du regard. Et oui, j'avais toujours eu tendance à très vite oublier les leçons du passé. C'était pas marrant quand on faisait gaffe à sa peau de manière.

Comme prévu mon jouet entra sans broncher dans le bain appréciant presque même si l'effet de ma séance avait laissé des traces ...
Je sourie et quand ce dernier me demanda de lui passer le savon je le lui lançai en direction de sa tête que je ratai sans le vouloir.

A sa suite, je pénétrai dans le bain me retrouvant vite au dessus de lui pour ensuite fermer les yeux.

"Aslin, Nettoie-moi avec le savon ... Et pas de coups bas sinon je te les ferai payer encore plus cher que tout à l'heure ..."

Le dos que sa poitrine je me laissai allé quelques instant gardant quand même une oreille avertie sur ce qu'il pourrait envisager ... Toujours se reposer avant une activité ...

La belle saisit le savon et le lança mollement vers moi. Je l'attrappai au vol, lui faisant un petit signe de tête.

Elle ne me laissa cependant pas le temps d'en profiter et entra dans l'eau à ma suite. Elle se plaça alors au-dessus de moi, semblant se détendre d'un coup. Elle avait un peu trop confiance à mon goût.

La gamine me demanda alors de la nettoyer en évitant de lui faire un sale coup. Ce n'était pas vraiment mon genre...

Elle se laissait aller tranquillement, et je commençai alors à lui frotter le dos doucement, la caressant plus que je la décrâssais. Je passai alors le savon sur ses épaules, toujours doucement.

"Et bhé l'eau est déjà crade... Je comprends pourquoi t'étais si pressée... A se demander où t'as encore été traîner..."

L'eau était en effet plutôt rouge maintenant, et je trouvais ma vanne bien trouvée.

Je continuai un peu ma triste besogne, en profitant tout de même un grand minimum...

Mon jouet s'éxecuta sans trop broncher, et bizarrement je me rendis bien vite compte qu'Aslin s'amusait bien à sa savonner sa Maîtresse tout en la touchant sans retenue ... Peu de temps après avoir commencé, mon jouet me lança vite une réplique qui ne change en rien mon attitude.

Je sourie tout de même d'une façon naquoise tout en lui faisant une remarque.

"Hummh ... Je ne crois pas qu'il est nécessaire d'ajouter quelque chose à ça ... Après le sang ne m'appartient pas, hein mon chou ?"

Doucement je me rélévai de mon siège pour me tourner et me retrouver à niveau de son visage. Profitant de la grandeur de la bassine je m'assis sur lui plaçant chacune de mes jambes autour de sa taille plaçant mes lèvres à hauteur des siennes pour finalement l'embrasser doucement.

[i]"Montre à ta Maîtresse que tu peux mettre utile à tout moment ..."[i]

"Ah il est plus à toi mon sang? C'est noté ma belle."

Elle se retourna alors, enserrant ma taille de ses jambes. La position était loin d'être désagréable.

La courge me demanda alors d'être utile.

"Utile? Moi? Tu t'es trompé j'crois. Si tu veux baiser c'est jouable, mais tes quatre plaisirs tu peux oublier sur le champ poupée."

Ma main glissa avant qu'elle ait n'ait le temps de s'exprimer, enserrant son sexe dans une poigne forte. Enfin pas assez fort pour briser la garce.

"T'aime ça ma folieuse?"

Je commençai alors à m'amuser, avec fermeté et un peu de douceur, pour qu'elle apprécie la chose un minimum. Juste un minimum...

Mon jouet compris assez rapidement ou je voulais en venir ... Sa main glissa alors au niveau de mon entrajambe qu'il serra et caressa, il le fausait d'une façon très agréable même si un peu violente par moment. Un sourire délicatement déssiné sur le coin des lèvres, j'attrappai alors son poignet pour ensuite me lever. Me dirigeant vers ma chambre, je le regardai un instant l'invitant à me suivre.

"Viens Esclave !"

La poupée sembla aimer la rencontre intime, ce qui m'étonnait pas des masses. Par contre elle commençait à m'agacer à ne plus répondre à mes provoqu'. Si elle commençait à être indifférente le jeu allait moins me plaire.

Elle se leva alors, la flotte coulant sur son petit corps aguicheur. Elle se dirigea alors vers la chambre, m'ordonnant de la suivre.

Je m'éxecutai donc, ne voulant pas sentir de nouveau la douleur de la magie. Je léchai mes doigts en la regardant, avant de lancer:

"Ca commence à me courir tes p'tits jeux..."

Je la suivis cependant dans la chambre...