Les Mémoires d'Initium
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Après des guerres séculaires, les peuples d'Initium s'accordent enfin une paix relative. Pourtant, tapie dans l'ombre, une menace pèse ...
 
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 Description des Lieux !!!

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La Voix Céleste
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La Voix Céleste


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MessageSujet: Description des Lieux !!!   Description des Lieux !!! Icon_minitimeMer 14 Mar - 6:36

°o~~La Cité Clamyde et le Temple~~o°
Le Temple ne réside pas à l'entrée même de la cité Clamyde, mais est au contraire en profondeur par delà des nombreuses cascades et profondes herbes.
Les Cascades sont les réprésentations même du lieu, inondant les terres de leur beauté et danger, caprices et sacrifices.
Certaines se disent eau banale, mais parmi celles ci en sont des sources de grande magie, de grande force. Ainsi le peuple Clamyde à su en tirer des avantages et à su en faire sa force première. Certaine même furent aménagées et améliorées, mais ceci sera expliqué par la suite.
Au delà des plus grands Arbres de lumière et autres, gisent sans vie certaines Montagnes de neige des Pics de Vallandryan reflétant sur les eaux des Lacs et sur le temple la Lune Lumière.
Au nord d'Intium, réside la cité et son air y est bien plus frais qu'aux pays de Khâlidor, mais une fraîcheur d'une douceur caresse. Certains visiteurs se perdent parmi la flore par la caresse de cet air qui les enivre et se laissent errer dans un rêve qui est en fait réalité et ainsi perdent ils toutes notions de temps et d'esprit.
Les nuages ne sont pas rares mais jamais d'un sombre obscure, toujours annonciateurs d'une pluie de bonheur, d'une pluie de perle qui alimenteraient les lacs, au plus grand plaisir des habitants.
Ces habitants, personnes passionnelles, aimants jouirent des plaisirs communs offerts avec simplicité par la nature. Chants, musiques, jeux et simples siestes au bord de ruisseaux suffisent à rendre heureux n'importe lequel d'entre eux, et la réflexion est au contraire des rumeurs amusement de groupe que les plus anciens pratiquent avec sérieux. Les plus jeunes eux ont vie simple et insouciante, ne vivant qu'en une communauté de personnes de leur âge hormis les nurses, et ne reçoivent ils que l'amour qu'ils se veulent bien voir offrir. Rien ne dérange en réalité la paix et l'amour de la nature en ce peuple bien que des temps de malheur persistèrent comme en toutes races, et la recherche du bonheur les amènent parfois même à s'exclurent du monde extérieur bien que leur cité accueil avec grande joie les visiteurs courtois et de bon présage.
(Histoire basée sur les légendes des Clamydes, contée par Nòlemë Rysenn. Saura apprécier celui qui saura se fondre parmi ce peuple)
*__~...Les Lacs, Cascades et ruisseaux...~__/*
Le Monde connait maintes histoires sur la magie engendrée par les eaux de la cité Clamyde. Elles sont dites vénérables et guérisseuses, et des rumeurs comme quoi des lacs de jouvence auraient lieu d'être. Mais Balivernes! Aucune de ces eaux n'apporteraient longévité ou santé aux personnes extérieures et même si elles procurent quelques bienfaits aux Clamydes ce n'est que parce qu'un peu de cette eau coule en leur coeur.
Car seul ceux dont la destinée est différente et parallèle aux Mages, Dieux ou autres vivants dotés de Magie intérieur, peuvent trouver en ces eaux une force surnaturelle, et qui ne saurait grand chose sans un maniement rigoureux et maîtrisé du savoir.
Le commencement de ces eaux peut être conté mais avec un certain recule, car il fut un temps infini entre la conception de ces lacs et la venue de tous sur Initium.
Elles furent faites, ou engendrées, au même moment que ce Monde, le Monde d'Initium. On dit qu'il est en vérité d'une déesse qu'elles proviennent, la déesse Lunaire mais aussi Lumineuse; La Déesse Tàri Elen, signifiant Reine Etoile, de son vrai nom Sùlë Valaron, qui lui signifie esprit divin.
Elle vivait en les cieux, s'amusant à crocheter les étoiles et à les orner de milles lumières et étincelles. D'un Coeur de Lumière était elle et aucune tristesse ne gisait en elle, des chants elle fit au Monde pour ne pas oublier les étoiles et ces chants sont alors les aurores boréales à nos yeux.
Longtemps fut sa joie de voir le monde illuminé par ses Enfants, les étoiles, lors du crépuscule de la nuit et aimante fut elle du peuple de Clamyde qui dansait et chantait sur ses trésors.
Mais un jour, parut il un siècle pour nous, vint là la convoitise d'un Dieux, un à l'esprit beliqueux ne cherchant que trésors pour sa propre personne et ses seuls fabrications. Fauca, dit "le Désireux" du mot "Fauca" signifiant désir, provenant de son vari nom Soica Tùrë signifiant à son tour "Le Désir du Pouvoir". Dieux de la Brillance, tant celle des lucioles que celle de la Lune et de la Mère Soleil, il convoite toute lumière qui saurait le rendre que plus lumineux. Ainsi a t'il en sa possession la brillance volée à un être, en fait il sur le moment même un joyaux comme la Lune ou même l'éclat de la rosée. Car est il le plus désireux de tous les dieux, cherchant à assouvir sa soif de découverte et de Lumière.
Fauca, traversait le ciel de nuage en nuage un jour de Grande Lune et vit il, mais cela bien avant , que les Etoiles de Tàri brillaient d'une Lumière bien supérieur à toute chose. Et se morfondra t'il dans une haine et une jalousie profonde envers les Enfants de Tàri. Et décida t'il de les rendre d'un éclat moindre, et cela par n'importe quel moyen.
Mais leur lumière provenait du coeur même de Tàri et seul un grand malheur la touchant pouvait diminuer leur brillance.
Fauca alla donc voir Yanta Andùnë, "Pont du crépuscule" Dieux de la séparation de la Terre et de L'Univers et a t'il puissance sur nuage et couche d'ozone, pour demander son aide lui inventant une histoire malveillante sur la douce Tàri disant qu'un esprit malsain se caché en elle et que bientôt son esprit enverrait les étoiles brûler le Monde. Yanta fut si blessé à l'écoute de telles paroles qu'il accepta avec conviction d'aider Fauca dans la punition de Tàri. Alla t'il alors, sur son cheval de poussière et de brume, chercher tous les nuages les plus sombres par delà les Terres d'Initium et les ramena t'il en les tirant à l'aide des cordes de Lumière façonnées par Fauca dans sa folie. Les plaça t'il par la suite devant les Etoiles, pendant que Fauca détourna l'attention de Tàri en la charmant de Lumière par des lucioles façonnées dans sa jeunesse.
Les nuages recouvrirent l'entier des cieux mais n'assombrirent pas pour autant le Monde, seul les étoiles de Tàri furent sombres et cachées, et son Coeur sombra dans le désespoir, car plus aucun être ne dansait pour ses Enfant ni pour elle...Les étoiles furent oubliées pendant un temps et sa tristesse grandit. Une nuit, l'une des nuits les plus noires du Monde, Tàri s'accouda à la Lune et y pleura, ses yeux emplis d'une injustice qu'elle ne pouvait accepter. Mais par des ruisseaux de larmes, coulèrent sur ses joues se frayant un chemin et tombèrent sur le monde les gouttelettes de tristesse. Elles tombèrent sur le monde comme le crépuscule du soir et se formèrent en lac et chemin d'eau, et seul sur Clamyde elles ne s'effaçèrent point. Leur brillance était moindre que les étoiles mais bien plus éclatantes que les joyaux de Fauca et les lacs reflétant la Lumière de la Lune firent évaporer les sombres et obscures nuages qui emprisonnaient ses Enfants. Les Etoiles ne brillèrent plus jamais de l'éclat des temps joyeux, mais une partie de leur Lumière alla aux lacs, ruisseaux, et torrents du Monde pour donner une infime partie du Pouvoir de la Lune et de la Magie de Tàli.
Grand fut le désespoir de Yanta qui s'aperçut de la supercherie commise par Fauca et sa colère fut grande et incessante à son égard, et devint il le plus doux des Dieux envers Tàri. Quand à Fauca il erra à jamais dans sa honte et la méprise des autres Dieux et ne su jamais faire éclater d'une brillance bien plus grande que l'amour de Tàri, ses joyaux.
Ainsi termine t'on l'histoire de la conception des eaux de Lumière, Argent pour la couleur Lune des Larmes qui tombèrent de Tàri, car Fauca avait omis de voir que la brillance et l'éclat le plus grand ne provenaient pas des conceptions manuelles mais bien de l'antre de l'être, par l'amour et la caresse de la sagesse.
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Tàri Elen crochetée au cieux jouant avec les êtres de l'Air.
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MessageSujet: Re: Description des Lieux !!!   Description des Lieux !!! Icon_minitimeSam 5 Mai - 13:41

§¨~Tultaurë Ilfirin, et l’Arbre Premier~¨§


Tous connaissent, tous ont déjà cru savoir. Mais que peut on savoir sur des choses aussi peu connues de tous...De tous hormis nous, Clamydes.

L'eau est apparue, elle à jaillit parmi les plaines, les champs et les espaces conçus uniquement à l'idée d'offrir une place aux plantes, vénérables sont elles.


Touchant ces lieux elles y amenèrent floraison et embellissement des robes de celles ci. L'odeur envoûta de ce jour l'air, comme dense, tactile, d'une couleur propre à l'humeur du temps, mais ceci reste chose à venir.
Elle su de même, toucher au plus profond ces fleurs au corps solide et aux milles et une tiges agrippant de simples pétales. Bien plus grande était elle, plus rugueuse et terne en moment. Elles semblaient ne point se réjouir autant que les autres comme languissant un jour, se rappelant une joie passée, désireuse d'une chose que l'on ne savait voir ou comprendre.
Les Dieux ne s'occupèrent point de ces choses, les disant faussement utiles, bénignes, qui n'amèneraient à rien et qui pour la plupart n'intéressaient point.
Grande fut l'aveuglement de certain et la colère de l'un des leurs. Lindo. Seul parmi tant d'autre, seul à apporter la moindre importance à l'une de ces plantes rejetés, racées.
Lindo, dit de par la nature de son nom L'Oiseau Chanteur, car aimant des oiseaux était il en son coeur et des belles choses que pouvait offrir la mère Nature, Dieux dont on ne connait que seul les actes. Pouvait on l'entendre d'une flûte de bois aux ornements d'une finesse extrême et aux crevasses imbibées d'Or, l'Or du pollen. Ce balançait il dans la forêt lorsque Inithium pleurait ou festoyait, sursautait il lors de l'apparition des Trois Lunes, tournoyait il lors de celui du Soleil, et chacune de ces chose ne se firent sans le son de cette flûte. Linorë avait elle été nommée par les petits êtres vivant dans des maisons faites sur les pétales ou dans le pollen d'Or. Linorë était la signification du Coeur Chanteur, car seul Lindo avait le pouvoir et la particularité de faire jouer Linorë. Et doux et beaux furent ses mélodies, et des êtres se perdirent dans la voûte du son et ne réussirent jamais à retrouver leur chemin. Les notes semblaient comme se frayer un chemin parmi l'air dégageant un épais brouillard, une fumée aux teints d'or et de vert, et aux petites poussières d'argent et de lumière reflétant les rayons soleil et lunes ce qui leur donnait un aspect unique chaque jour et nuit. Lindo aimait chanter pour ce peuple, celui des fleurs et de leurs habitants, et jamais ne cherchait il à conquérir de part sa musique le coeur ni des dieux ni même des êtres vivant sur Inithium.

Pendant un temps infini, erra t’il en ces lieux se faisant oublier de tous ne vivant seul que pour vivre parmi ces airs de bonheur. Mais tous savent que le bonheur ne peut se vivre et s’apprécier que par un malheur, celui qui révèle ce que l’on omit de voir.

C’est ainsi que, barbotant parmi les herbes hauts soufflant en Linorë, le cœur léger et bon, une des fleurs soleil, aux milles pétales des milles rayons, se moura.

Lindo fut anéantit, et s’approchant à toute allure, pris avec une délicatesse reine cette petite fleur. La baisa t’il pour lui donnait grand amour et force, mais rien ne changea, pleura t’il, mais rien ne revit, et telle fut le premier jour des fleurs éphémères ne vivant que par saison. Ullumë Oira, la Déesse dit du Jamais Eternel, grande amie de Tàri, créa les saison, la mort du soleil en hiver, la mort de la neige en été…Pour enfin renaître bien plus belles et aimés, mais en ceci Lindo ne put comprendre son chagrin étant si fort.

Car ce ne fut pas qu’une seule de ses amours qui fana, mais toutes se murèrent se recourbant sur elles mêmes, perdant leurs couleurs et leurs odeurs. Lindo se retrouva seul, en une période que Ullumë nomma Automne, et son cœur fut très courroucé pour cela car il marcha dorénavant seul parmi des plaines vides où seul l’herbe continuait à survivre avec douleur. Et quand enfin arriva les temps de Neige, Hiver nomma t’elle, Lindo ne put supporter plus la solitude de la nature. Il alla donc en les cieux, ce qui n’avait pas été fait depuis un temps perdu, grâce au vent qui l’emporta jusqu ‘au domaine de Yanta qui l’aida grâce à la vacuité de l’univers à atteindre les portes des Dieux. Ainsi arriva t’il devant les murs, les montagnes, ces portes que l’on n’osait nommer et appela t’il Ullumë d’une voix pleine de colère et d’amertume. Il ne voulait point entrer en ces lieux, ne les reniant que plus en ces temps. Et ce fut, Ullumë elle-même qui sortit alors du Monde des Dieux.

Les portes s’ouvrirent synchroniquement, dévoilant avec douceur et mystère cette grande Déesse. Et Lindo tomba alors des nus, car était elle d’une beauté sans pareille, aux cheveux de cent couleurs, et à chaque mouvement de tête des reflets de dizaines de celles-ci se dévoilaient. Sa robe décrivait tant par les couleurs que par les textures les saisons qu’elle avait apporté au Monde. Ses pieds était nus et pourtant quand ceux-ci bougèrent l’on apercevait de légère sandales d’or comme transparentes qui ne pouvait apparaître quand des moments précis. Ses yeux figèrent alors Lindo de curiosité car son œil gauche fut d’un vert Eté et marron Automne, mais celui de droite d’un bleu blanc Hiver autour de sa pupille et d’un jaune feu au contour du néant noir. Lindo ne su que dire ni que faire, car jamais n’avait il vu chose plus belle et jamais n’en verra t’il tout le long de sa foulé de Initium hormis la venue de Taurë.

Tous les gens de Clamyde connaissent l’amour que porta Lindo à Ullumë, et qu’Ullumë lui porta à son tour. Un grand bonheur s’en suivit dans le cœur de Lindo mais amère était ses souvenirs et à chaque saisons pleurait il la mort de certaines de ses petites amours.

Ullumë attristée par la peine de son aimé, alla en plaine les jours de Printemps et au milieu d’un champs de fleurs à peine naissantes, entourée de par celles-ci elle s’agenouilla et creusa un léger creux au milieu de la terre. Toutes furent choquées de l’abominable geste de Ullumë mais ne purent réagir et observèrent elles alors ses mouvements avec sérieux. Elles virent Ullumë couper une de ses mèches de cheveux, qui envoya des reflets et rayons de lumière jamais vus auparavant en ces lieux, et la déposa en ce cœur de terre pour ensuite ramener la terre au dessus. Les fleurs et leurs habitants furent pris d’étonnement lorsque celle-ci se courba pour donner un tendre baisé sur cette petite bute. Et le furent ils encore plus lorsque se retirant vint une tige de ce monticule, une tige qui poussa alors à une vitesse proche du vent, et grande fut son ascension vers les cieux, atteignant le Monde de l’Air et non celui de la Vacuité. Lindo put ainsi voir cette tige n’importe où il fut en Initium.

Après sa poussé, ne grandissant plus, la tige se grossissait se rendant plus épaisse et solide devenant même bien plus grosse qu’une maison en sa racine et un bruit de grand tonnerre accompagna cet acte ce qui amena tous les gens de ces terres à venir voir la naissance nouvelle d’un Arbre. Ces branches se déployèrent telles les ailes d’un grand signe et en cela apparaissaient comme par la force d’une magie inconnue ces feuilles. Ces couleurs furent fraîches, et douces, non agressives. Et Ullumë pleura à la vision d’une aussi belle chose, et ses larmes tombèrent sur l’une des racines auxquelles elle s’était adossée. Arriva alors Lindo essoufflé et s’arrêta il devant cet chose gigantesque, figé, pour l’admirer comme il le put. Et fut il si ému, et quand voyant Ullumë pleurant et assise à coté de celui-ci il comprit le cadeau qu’elle lui avait offert.

Et son cœur s’emplit d’un amour sans pareille, ne désirant plus rien d’autre de la vie éternelle. S’approchant donc d’Ullumë, il su en ses yeux que ce fut là le dont d’un être sans mort de saison, et que pour lui la mort ne viendrait que par maltraitance et délaissement. Prenant en ses bras sa douce aimé, il déversa une larme d’amour et de joie, car rien avait était aussi doux en son cœur que depuis la vision d’Ullumë aux portes des Dieux qui fut d’un temps très ancien, et cette larme tombant au même endroit que sa douce et se mélangea sous leurs yeux avec celles auparavant tombées. Comme des serpents elles se rallièrent et s’assemblèrent pour enfin disparaître dans cette racine, et l’étonnement fut énorme pour ces Dieux. Mais vit on alors l’Arbre changer de couleur, comme contenant une lumière surpassant toutes les autres en son cœur, telle une luciole et d’une feuille naissance coula une goutte aussi lourde que l’or et douce que la soie, aussi éclatante que Lyos et aussi fine que la neige et enfin semblait telle aussi fragile que des roses. Tombant sur le sol devant leurs yeux ébahis elle se fondit parmi la terre, et dans un tremblement et un chant calme et apaisant, apparu une graine qui sortit de l’entre de la terre, juste à leurs pieds. Cette graine grossit, ne s’arrêtant que ayant atteint la taille d’un œuf de Clamyde, et ne bougea plus. Les Dieux furent épris de terreur mais bien plus de curiosité, et touchant à eux deux la coquille fébrile de celui-ci une fissure se fit. Elle fissura alors la coquille de milles et une failles comme le sol se séparant, et de cet œuf apparut un enfant. Proche de leur apparence mais bien plus beau que toutes les fleurs de cette plaine et se tenait il alors en dehors de l’œuf peu après sur ses jambes. Et face à Lindo et Ullumë, il grandit de corps et d’esprit atteignant leur taille et leur sagesse et devant leurs yeux stupéfaits se pencha t’il, car légèrement plus grand était il, et dit d’une voix profonde et transperçant ceci ;



« Ô, me voici vous qui m’avait conçu, voici par amour, voici votre fils Taurë dit Tultaurë Ilfirin, celui qui naquit de l’Arbre Premier et des larmes des Dieux et suis-je le protecteur et fondateur de ces être, de ces géants, ceux que l’on appellera Arbre. »



Et la joie et l’amour furent des plus grand et heureux pour tous trois et jamais plus Lindo n’eu de peine pour les fleurs qui se desséchaient car son fils Taurë était là pour faire perdurer les fleurs Arbre. Et de Taurë Grande forêt ou Tultaurë Ilfirin La Venue de la Grande Forêt Immortelle dit on qu’il vit encore parmi les forêt de Clamyde les gorgeant de ses Arbres de Lumière à la brillance de sa mère et à la force et aux chants de son père.

Voit on alors la puissance des Dieux en regardant simplement l’un d’eux et embrassons nous les Dieux en les touchants et les caressants simplement.


(Suite et précisions seront à venir)
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